Ces dernières années, plusieurs résidents de la Montérégie-Ouest ont été victimes de deux inondations majeures. Durant ces moments difficiles, les intervenants psychosociaux déployés par l’organisation sous l’égide de la Coordination des mesures d’urgence et de la sécurité civile (CMUSC) ont, chaque fois, répondu aux besoins psychosociaux et ils étaient présents sur le terrain afin de rejoindre les sinistrés dans leurs réalités.
Écoutez les sinistrés vous parler de leurs défis et de l’apport de nos intervenants.
Nous avons donné la parole à des sinistrés ainsi qu’aux travailleurs sociaux de l’équipe dédiée au rétablissement du CISSS de la Montérégie-Ouest. Ces derniers vous partagent dans la vidéo ci-dessous, en toute sincérité et reconnaissance, les défis auxquels ils ont dû faire face.
Vidéo l’équipe dédiée à travers le regard des sinistrés.
Le saviez-vous?
La coordination des mesures d’urgence du CISSS de la Montérégie-Ouest coordonne et planifie les différentes actions en lien avec le déploiement de la mission Santé, incluant les interventions psychosociales sur le terrain. Différentes actions sont menées afin d’offrir un service rapide et adapté aux besoins des sinistrés tout en maintenant une offre de service régulière pour le reste de la population non sinistrée.
Dans la vidéo suivante Mathieu Allaire, coordonnateur des mesures d’urgence et de la sécurité civile et Annick Goulet, conseillère en mesures d’urgence et en sécurité civile vous informent quant à l’offre de service et à l’importance de la coordination en cas de sinistre.
Vidéo: la coordination des mesures d’urgence et de la sécurité civile lors d’un sinistre.
Pourquoi parler d’inondation alors qu’il n’y a plus d’eau?
Vous vous demandez surement pourquoi nous vous parlons encore des inondations alors qu’il n’y a plus d’eau, que les sinistrés semblent avoir repris leurs activités de la vie quotidienne et que les travaux de rénovation sur les habitations touchées semblent avoir été effectués? Il ne faut pas oublier que la phase de rétablissement est longue et ardue et que chaque sinistré vit le sinistre de façon unique et à son propre rythme. Plus la population est informée des difficultés qu’ils vivent, plus nous pouvons, collectivement être présents pour aider les sinistrés.